Page:Deschamps, Émile - Œuvres complètes, t3, 1873.djvu/13

Cette page a été validée par deux contributeurs.

DÉDICACE


Chère morte bien aimée, j’ai pensé à toi en réunissant ici toutes ces pages écrites autrefois sous tes yeux.

C’est à toi que je les dédie.

Ton âme sera-t-elle sensible encore à un si petit hommage ?


É. D. 
Versailles, 1870.