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��Correspondance.

��» tricam illius peiiegerit ; caput (S ipla figurarum pulchritudine tam » corporis quàm mentis oculos recréât... >

Page 129 : « Corollarium II {Prop. XXV). De parabolâ helici Ar- » chimedeœ œquali. — Cùm hœc agerem, vir dodus lineam aliquam >) redam propofuit, quam primae reuolutioni abcdefn helicis » aequalem credebat; quam tamen reuolutionem lineà redà propo- » fità maiorem, eamque parabolfe GT tequalcm Geometra nofter » demonftrauit... » Suit la démonstration. « Geometra nofter » désigne toujours Roberval, dans cet ouvrage de Mersenne.

Voir la lettre de Descartes à Mersenne, du 23 mars 1643, t. III, p. 642, 1. 3-4.

Mersenne avait annoncé un peu auparavant cette démonstration, p. 90 : '< Alias omitto proprictatcs, quôd non poftintclarè latis intel- » ligi abfque nouis figuris, qualis cft parabolœ & fpiralis Archi- » medeœ inuenta nouiter œqualitas, de quà corollario 2 prop. 25 » fequentis hydraulicae. »

Page 140-156. Après avoir étudié le jet des eaux, Mersenne essaie de déterminer le poids de l'air, et propose plusieurs moyens, deux entre autres, l'expérience de l'éolipyle (prop. XXIX, XXX et XXXI, p. 140-149), et celle du fusil à vent, fclopehim pneumaticum (prop. XXXII et XXXIII, p. 149-150). Une bonne moitié de la lettre CCXCII de Descartes à Mersenne, du 4 janvier 1643, se rap- porte à l'expérience de l'éolipyle : « Prop. XXIX. Aëris rarefadi 1) atque condenfati qttantitatem, pondus & vires, ac injlrumenta huic « cognitioni feruientia e.vplicare. » (Page 140-144.) Voir notre t. III, p. 6o(), 1. i5, à p. 61 1, 1. 5. La fin de la lettre, p. 61 1, 1. 5-14, se rapporte à des applications médicales de cette expérience, que Mer- senne expose sous ce titre : « Prop. XXX. Organorum quitus aer condenfatur, vel rarefit, tam medicos quàm alios vfus indicare. » (Page 144-6.) — Quant à l'autre moyen de peser l'air. Descartes l'approuve avec quelques restrictions, lettres du 23 février et du 23 mars 1643, t. III, p. 634, 1. 6, et p. 639, 1. 8, et Mersenne l'expose tout au long : « Prop. XXXII. Sclopeti pneumatici conjlrudionem, » vire' & j'fum explicare, & illius ope pondus aëris inuenire. » (Page 149 etc.)

Plus loin, dans sa préiace au Traité de ballistique, qui termine les Cogitata Phff.-Math., il revient sur cette question du poids de l'air :

« V. Addo ad ea quae de modo ponderandi aërem in Hjdraulicis

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