Supplément. 5^7
» faites du Hure de Monf"^ Des Cartes. le le lui ferai fçauoir & à fes » feèlateurs, qui font en grand nombre en fes [sic) quartiers^ iufques » là que fon liure fe lit publiquement en l'Académie d'Vtrech par » vn profelfeur en philofophie nommé Reyneri. Il trauaille tou- » fiours, à ce que i'apprens, après fon Monde, S'il eftoit moins bon » catholique, il nous l'auroit défia donné ; mais il craint de publier » vne opinion qui n'eft pas approuuée à Rome... » {Fol. 143.)
« Du 23 Mai i638. — ...Pour ce qui eft de voftre liure de luce, il » eft vrai que nos philofophes ont trouué aufli à dire en ce que vous » aués dit qu'elle eft moienne entre le corporel & l'incorporel ; car » ils treuuent, félon les Stoïques, que Tài|v svtwv xi [j.ï'i irtl ja»;xxTa, ta » S' àjti[xa-:a. ne Jit médium... » {Fol. 14S.)
<i Du 3o Octobre 1639 {sur le Philolaus de Boiilliaud). — ...le l'ai » fait enuoier à Monf"" des Cartes, qui m'en doit dire fon iugement, » que ie vous ferai fçauoir. lUe vnus pro centtim... » {Fol. 166.)
��CLXXVII bis.
Saumaise a Descartes.
Leyde, 22 novembre 1639. Autographe, Paris, Bibl. Nat., MS.fr., 85g3, p. 36.
{Cette lettre serait à insérer, après la CLXXVII', tome II, page 624.)
Monjîeur,
Puifque vous aués eu le premier liure des Vfures^, il
ejl raifonnable que vous ayés le fécond^. Vous ne refu-
ferés donc pas à cettui ci vne place fur vos tablettes auprès
5 de fon frère. Si vous aués approuué la hardiejfe que i'ai
eue au premier, de défendre vne opinion fi particulière
a. Voir ci-avant, p.. 555, lettre à Du Puy, du i" juin 1637.
b. Après /econ<i .■ mot écrit, puis raturé. MS.
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