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Opuscula Posthuma.

tudo ad partes circumferentiae, quibus fubtenduntur, eft cognita. Hoc modo :

Subtenfa mediœ partis femicirculi

eft y/i ; fubtenfa ^ .... eft^y/.i — v/2. ; fubtenfa ~ .... qH \J.2 +^2.; Item -è- .... eft v/.2 — y/.2 + v^2.

. eft y/. 2 — y/. 2 —yji. eft v/.2 + \/.2 — y'2. . eft \l.i --sj.! +\Ji. . eft y/.2— v/.2 + v^.2 + v/2.; . eft v/.2 — v/.2 4-\/.2 — v/2.; . eft y'.2 — v/.2 — \/.2 — \/2.; . eft v/.2 — y/.2 — v/.2 + y/i.; . eft y/.2 + y/.2 — y'.2 + y/2.;

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si elle n'eût pas été connue). Il la met sous une forme qui correspondrait

à celle-ci :

a* = *• + c* — bc Corde (it — 2 A).

Il propose de définir la valeur de l'angle par le rapport ^. \ j. '_ ■;/., pris en valeur absolue, en ajoutant d'ailleurs -|- O (comme indice de l'angle droit), si t* -|- c' < a*, et«i par conséquent l'angle est obtus. Cette curieuse notation montre qu'il était encore loin de la conception des quantités négatives. (P. T.)

a. L'imprimé d'Amsterdam, fidèle sans aucun doute au MS. primitif, reproduit la vieille notation que Descartes lui-même abandonna plus tard, pour indiquer la racine de tout un binôme ou de tout un polynôme : mettre entre deux points les quantités dont la racine est à extraire. (Voir, à ce sujet, t. III de la présente édition, p. 197.) Le MS. de Leyde, qui est une copie postérieure, met, comme on fait aujourd'hui, toutes ces quan- tités sous une barre horizontale. — Nous suivrons ici, comme plus archaïque, la notation de l'imprimé, qui fut celle de Descar(es à ses débuts. Voir ci-avant*, p, 247, note c.

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