et qu’on multiplie cette somme par
on aura
qui est une autre équation en laquelle x, ayant trois dimensions, a aussi trois valeurs, qui sont 2, 3 et 4.
Quelles sont les fausses racines.
Mais souvent il arrive que quelques-unes de ces racines soient fausses ou moindres que rien ; comme si on suppose que x désigne aussi le défaut d’une quantité qui soit 5, on a
qui, étant multiplié par
fait
pour une équation en laquelle il y a quatre racines, à savoir trois vraies qui sont 2, 3, 4, et une fausse qui est 5.
Comment on peut diminuer le nombre des dimensions d’une équation, lorsqu’on connaît quelqu’une de ses racines.
Et on voit évidemment de ceci que la somme d’une équation qui contient plusieurs racines peut toujours être divisée par un binôme composé de la quantité inconnue moins la valeur de l’une des vraies racines, laquelle que ce soit, ou plus la valeur de l’une des fausses ; au moyen de quoi on diminue d’autant ses dimensions.
Comment on peut examiner si quelque quantité donnée est la valeur d’une racine
Et réciproquement que si la somme d’une équation ne peut être divisée par un binôme composé de la quantité inconnue + ou - quelque autre quantité, cela témoigne que cette autre quantité n’est la valeur d’aucune de ses racines. Comme cette dernière
peut bien être divisée, par x - 2, et par x - 3, et par