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��Correspondance.
��III, 619.
���L'vne de fes principales fautes eft a la fin de la 2^ page, où ayant mis pour axiome vne conclufion qui eil de moy, a fçauoir que, dans le cercle GBF, le
mobile qui vient de G vers B tend vers C, lorfqu'il eft 5 au point B, il le prouue ri- diculement en difant que la nature ne fouffre rien d'in- déterminé, & qu'il n'y a point d'autre ligne que BC 10 qui foit icy déterminée. Car qui empefche de dire que le mobile ira de B vers H plu- toft que vers C, vu que B H eft aufl*y déterminée que BC & qu'on fçait que ce i5 mobile tend a s'éloigner en ligne droite du centre A vers H ?
En la p. 9 il a vne diftindion abfurde entre deux fortes d'impreffions, l'vne par laquelle les cors font chaftez, l'autre par laquelle ils font attirez. Car il n'y 20 a aucune attradion telle qu'il l'imagine, & fi ce qu'il nomme l'impreffion eft la vitefle du mouuement dans le corps qui fe meut, ainfy qu'on le doit prendre pour donner quelque feus a tout ce qu'il dit, il eft certain qu'il n'y en a que d'vne forte ou efpece, & qu'elle eft la 25 mefme dans l'aymant ou le fer & les autres corps. Mais la principale de fes fautes eft en la page 10,
��I de fes; des. — 2:2^] fé- conde. — axiome] maxime. — 5- 6 lorfqu'il... B omis. — i5 après aufl}'] bien ajouté. — ce] le. — 17 vers H omis. — 18 En] Dans.
��— p. 9] page neufiéme. — il \' a.
— 20 et ajouté avant l'autre. — 2 5 la] tout de. — 26 dans ajouté avant le fer. — &] que dans. — 27 : 10] dixième.
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