11.297-298. CCXLVIII. — 22 Juillet 1641. 415
Efi outre, Descartes parait répondre, sur les fautes d'impression 'p. 41S, !. J g\, à quel<jues remarques de Mersenne sur l'art, g de la lettre du 23 juin [p. 388, l. lo); celle-ci serait donc du lundi j S Juillet ou du suivant, 22 juillet.
Mon Reuerend Père,
le vous renuoye les fixiémes Objedions auec mes Réponfes; & pource que ces Objedions font de plufieurs pièces, que vous m'auez enuoyées à diuerfes
5 fois, ie les ay tranfcrites de ma main, en la façon qu'il ma femblé qu'elles pouuoient le plus commodément eilre iointes enfemble. A fçauoir, vous m'auiez en- uoYé deux nouueaux articles en Tvne de vos lettres, Tvn defquels i ay adioufté à la fin du cinquiefme point,
10 après les mots non poterit reperire^, ainfi que j vous m'auiez mandé. Et pour l'autre, à caufe que vous n auiez point marqué le lieu où il deuoit eftre, i'ay trouué à propos de le diuifer en deux parties, & de faire le feptiefme point de la première *", & de mettre
i5 la féconde à la fin du troifiefme". Puis enfin i'ay trouué vne nouuelle obiedion dans la féconde copie que vous m'auiez enuovée, de laquelle i'ay compofé le huitiefme point '^
Pour les fautes de TimprefTion, ie içay bien qu'elles
20 ne font pas de grande importance, & ie vous aiTure que ie ne vous fuis pas moins obligé des foins que vous auez pris de les corriger, que s'il n'en eftoit
a. Voir p. 557-(édit. 1641), où on trouve recipere, au lieu de reperire; ou p. 459 (édit. 1642). — Comparer plus haut, p. Spo. éclaircissement de p. 385. L 6.
b. Voir p. 559 (édit. 1641), ou p. 460-461 (édit. 1642).
c. Voir p. 555 (édit. 1641), ou p. 456-457 (édit. 1642).
d. Voir p. 56i (édit. 1641), ou p. 461 (édit. 1642).
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