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292 Correspondance. m, 12».

dem maxime irrationalis, inter iftos fmus proportio. Reliquum epiftolae nondum vidi, nec idée poffum ref- pondere^. Sum,

R. Pater,

V*. R"^. Addidiffimus famulus,

Descartes.

��Page 287, I. 3. — « C'est une feinte. Hobbes écrivoit de Paris, » {Note de l'exemplaire de l'Institut.) Voir, en etfet, lettre CCXXX ci-après. On lit aussi dans Baillet : u Les troubles de la Grand-Bretagne l"ayant fait reve- a nir en France sur la fin de l'an 1640, il trouva dans Paris le repos et la » sûreté qu'il cherchoit pour cultiver sa Philosophie à loisir, et il se lia » plus étroitement que jamais avec le P. Mersenne et M. Gasèendi, qui » étoient les principaux conseillers et les compagnons de ses études. » {Vie de Mons. Des-Cartes. II, 120.)

��CCXXIX.

Descartes a Mersen.ne.

rLeyde, 28 janvier 1641.]

Texte de Clerselier, tome II, lettre 53, p. 289-292.

Sans date daiis Clerselier. Mais Descartes avait promis, lettre CCXXVII {p. 286,1. 18-21), du 21 janvier, d'envoyer sa réponse à des objections contre sa Métaphysique, « au prochain voyage », c'est- à-dire huit jours après ; et il s'excuse ici de ne pouvoir encore le faire « pour ce voyage » 'p. 2g3, l. 3) ; la présente lettre est donc bien du 28 janvier 1641 .

I iltos omis. — 5 Addidiffimus] Deuotiffimus.

. a. Descartes recevra plus tard le reste de la lettre de Hobbes, et y ré- pondra le 18 février 1641, lettre CCXXXI ci-après.

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