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nent de luy, qui font fi faciles qu'elles ne valent pas feulement le parler ; ce qui fait qu'il fe rendroit mépri- fable à ceux qui en connoiffent le peu de valeur, fi d'ail- leurs on ne connoilToit fon mérite. Comme touchant ce
5 qu'il dit de la façon dont il a trouué fa Roulette, &c. Et en ce qu'il dit que ie n'aurois pas trouué l'efpace de fa Roulette, fi vous ne m'eufTiez mandé qu'il eftoit Triple du Cercle, il eft peu iudicieux. Car : i . il n'eft Triple qu'en vn feul cas, & la façon dont ie Tay trouué
10 s'étend à tous les autres, mefme lors que la Roulette eft vne Ellipfe, ou deux hyperboles,* &c. ; 2. ie n'ay point fi bonne opinion de luy que de m'eftre arrefté à ce quil difoit. Et enfin l'exemple de M. F(ermat), qui, après l'auoir fceu, comme moy, du Cercle, a nié au
1 5 commencement qu'il fuft vray *", monftre affez que cela n'aide gueres à en trouuer la demonftration ; comme en effet, à caufe qu'il n'eft vray que d'vn feul cas, il v peut plutoft nuire qu'y feruir, lors qu'on veut chercher généralement ce qui en eft.
20 I Le folide de la Roulette eft beaucoup plus grand
que vous ne mandez, & ie croy qu'on en peut trouuer
la iufte grandeur"; mais ie ne veux point m'arrefter à
la chercher, car, en effet, ie renonce à la Géométrie.
Les Objedions de Monfieur (Beaugrand)^ eftoient
2 5 femblables à fon Liure, & i'en euffe bien mieux monftré
2 le] la peine d'en {Inst.).
a. Cf. plus haut, p. 262-263, et p. 3i2, 1. ig-zS.
b. Voir Œuvres de Fermât, t. II, 1894, p. i35 (Lettre de février i638,
S7-)-
c. La solution communiquée par Mersenne devait provenir de Roberval.
d. « Monfieur N. » Clers. Il s'agit des objections réfutées ci-avant, p. 326, 1. 20 à p. 328, 1. 3i.
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