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5)8 Correspondance. m. 408.

excepté 8, p, 128, & les autres quadruples de deux, lefquels ne font ny quarrez, ny compofez de trois, ny de 4 quarrez, mais feulement de deux. le fuis,

Mon Reuerend Père,

Voftre très humble & 5

très obligé feruiteur,

DESCARTES.

le cr >y que vos lettres ne fe perdent point par Haerlem, car i'en ay defia receu" ç ou 6, & ie fais icy refponfe a j, dont la dernière eft di 12 de ce mois, 10 & nous fommes au 2^ d'Aouft i6j8. Mais ie vous prie de prendre vn peu garde a les bi^n fermer; car i'en ay receu 2 ou 5 qui auoient, ce m^ fembb;, elle ouuertes; il eft vray qu'il n'y a iamais rien dedans que tout le monde ne puifle bien voir. i5

Page 3o8, 1. 8. — Dans l'autographe, la troisième lettre du mot ba^e est surchargée, et l'on ne peut guère reconnaître si Descartes i voulu faire la correction de ba^e en base, ou inversement. En tout cas, apris avoir, au début de sa lettre, couramment adopté la graphe ba^^e, il l'a brusquement abandonnée (à partir de la ligne lo de la page 3io) pour écrire tase dans toute la suite.

Page 3 12, 1. 7. — Cet aveu de Roberval est-il bien réel en ce qu; con- cerne la construction de la tangente à la cycloïde? Pour la détermination du point d'inflexion dans la cycloïde raccourcie, il déclarait posséder une démonstration, mais en désirer une plus courte. Comme cette secorde question rentre dans la première, Roberval devait certainement, soit pos- séder une solution pour les deux, soit n'en avoir pour aucune. Sur h teneur de la lettre de Mersenne, probablement ambiguë, et dont, en tout cas, le Minime ne paraît jamais avoir rectifié l'interprétation donnée par

I après excepté] les quadru- 9 cinq ou fix. — 10 trois. —

pies de deux, comme aj. — &... douzième. — i3 deux ou trois,

deux] &c. — 3:4] quatre. — — i5 après voir.] le fuis, aj. 'i--j le fuis... Defcartes om. —

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