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» surpassé luy-même dans cet écrit, et que ce petit traité renfermoit toutes » les méchaniques, excepté la seule force de la percussion [en marge : I' Lettre MS. du P. Mersenne). »
( Tome II, page 455) : « Sa maison étoit une école de vertu et de doctrine
» pour eux (ceux qui le servaient) : et le Maître, non content de les rendre
» sçavans et gens de bien, se chargeoit encore de faire leur fortune et de
» leur procurer de bons établissemens. {En marge : Lettr. MSS. de Mers.
» à Desc. du i . Août i638). C'est pourquoy il y avoit toujours beaucoup
» d'empressement et de brigue à se mettre à son service, et nous voyons
1) que lors qu'il étoit en Hollande, on alloit à Paris implorer le crédit du
1) Père Mersenne, pour obtenir une place parmi ses valets, comme une
» condition fort heureuse. De son côté il les traitoit avec une indulgence
» et une douceur, qui les assujétissoit par amour. »
(Ib., page 45-j) : « Après le sieur Gillot, M. Descartes eut le Limousin, » qui luy avoit été envoyé de France en i638 par le P. Mersenne.» (En marge : Lettr. MS. de Mers. Août i63S).
��cxxxv.
MoRiN A Descartes.
Paris, 12 août i638. Texte de Clerselier, tome I, lettre ôi, p. 221-234.
« Réplique de Monfieur Morin à la refponfe de M. Descartes », dit Clerselier. Voir la lettre CXXVII du 1 3 juillet ci-avant, p. ig6. Descartes répliqua à son tour, le 12 septembre ., par la lettre CXLIII ci-après.
Monfieur,
l'ay lu vos réponfes à mes objeélions fur voftre nouuelle dodrine de la Lumière, auec toute l'atten- tion qu'il m'a efté poffible, tant pour le mérite du fujet, que pour rendre l'honneur qui eft dû à tout ce qui part de voftre efprit, le plus fubtil & le plus
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