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POÉSIES.

QuL’écho de la rue,
QuAu bruit accourue,
Quand l’heure aura soupiré,
Dira : L’enfant a pleuré !

QuEt sa tendre mère,
QuDans sa nuit amère,
Pour son ingrat nourrisson
Ne saura plus de chanson !

QuS’il brame, s’il crie,
QuPar l’aube en furie,
Ce cher agneau révolté
Sera peut-être emporté !

QuUn si petit être,
QuPar le toit, peut-être,
Tout en criant, s’en ira,
Et jamais ne reviendra !

QuQu’il rôde en ce monde,
QuSans qu’on lui réponde ;
Jamais l’enfant que je dis
Ne verra mon paradis !

QuOui ! mais s’il est sage,
QuSur son doux visage
La Vierge se penchera,
Et longtemps lui parlera !

FIN.