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PAUVRES FLEURS.


Mais je veux qu’il dorme,
Et qu’il se conforme,
Au silence des oiseaux,
Dans leurs maisons de roseaux !

Car si l’enfant pleure,
On entendra l’heure,
Tinter partout qu’un enfant,
A fait ce que Dieu défend !

L’écho de la rue,
Au bruit accourue,
Quand l’heure aura soupiré,
Dira : l’enfant a pleuré !

Et sa tendre mère,
Dans sa nuit amère,
Pour son ingrat nourrisson,
Ne saura plus de chanson !

S’il brâme, s’il crie,
Par l’aube en furie,