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LE PARFUM D’UN ALBUM.


Avant que ce parfum, du temps qui tout consume,
Ait subi l’avide froideur,
Que d’amitiés mourront ! que de vœux, dont l’ardeur
Autour de moi couve et s’allume,
S’éteindront, sans laisser après eux qu’un regret ;
Une larme peut-être essuyée en secret !