Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
LE LIVRE DE MA FILLE YNÉS.
Conte d’Enfant.
Dieu bénit les enfans qui vont vite à l’école ;
Peut-on sans les aimer les regarder courir !
On les croirait poussés par quelque ange qui vole,
Qui de leurs blonds cheveux leur souffle une auréole,
Frappe à la lourde porte et les aide à l’ouvrir.