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ADOLPHE NOURRIT
À LYON.
Après la guerre civile.
Pourtant, mon Dieu ! ce monde est plein de belles choses !
Jamais de votre amour les ailes ne sont closes ;
Attentif et penché sur vos enfans en pleurs,
Vous leur semez toujours de l’espoir et des fleurs !
Vous soufflez à leur soif ce limpide génie,
Qui porte dans son sein vos tables d’harmonie ;