se ; mais elle est pleine d’espérance. Voyez que de fleurs !
Il y en avait, en effet, déjà beaucoup ; et des arbustes, des plantes vertes, des saules si bien entremêlés ensemble que la terre à cette place ne se voyait plus qu’à peine. — C’est ici, mes filles, qu’il faut attacher vos couronnes et vous mettre à genoux.
Ce que firent les enfants.
— Venez, leur dit-il, après qu’il eut prié au milieu d’eux et pour eux. Venez ! votre mère vous regarde ; elle vous bénit.
La petite Marceline se précipita dans les branches et les hautes herbes en criant : — où donc ! où donc !
— Monsieur Sarrasin après l’avoir saisie dans ses bras, lui dit : je te promets que nous serons tous réunis un jour et que nous irons la rejoindre par la porte du ciel. — Merci ! répondit l’enfant qui se coucha