Page:Desbordes-Valmore - Livre des mères, 1840, t1.djvu/88

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LE PÉLICAN OU LES DEUX MÈRES.

Tout perdu dans les soins de sa jeune famille,
Sur la vague qui passe, et qui roule, et qui brille,
Un pélican s’incline, et saisit des poissons
Qu’il offre en espérance à ses chers nourrissons.


Sans affaire, et livrée à l’amour d’elle-même,
L’autruche, en digérant, vient le long du rocher.