Page:Desbordes-Valmore - Livre des mères, 1840, t1.djvu/105

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
100

une tache sur les vêtements ou sur les mains d’Adrien qui avait alors quatre ans. Donc sa mère avait un plaisir infini quand il les passait à son cou, dans un transport caressant. Le plus beau collier d’or lui eut semble moins précieux que les petites mains toujours blanches et bien lavées d’Adrien !


La propreté est la parure de tous les âges.