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LE BAISER DU ROI.

trez notre brave et jeune roi… si vous êtes raisonnable !

— Le rude monstre ! s’écria Christine en s’élevant avec vivacité. Je ne souhaite pas le voir ; on dit qu’il hait les femmes.

— C’est une calomnie : il est amoureux d’une.

— D’une belle ?

— Et méchante comme toi.

— Comme moi ?… Le comte se mit à rire, et l’instinct de Christine s’éveilla, car elle répondit après avoir un peu rêvé. Je ne l’ai pourtant jamais vu !

— Mais il t’a vue ; et il dit…