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— Mon oncle, mon cher oncle, je ne sais…
— Ah ! vous ne savez, vous ne savez, monsieur ! eh bien ! je vais vous mettre sur la voie. Que pensez-vous d’un homme qui manque à sa parole, d’un homme qui calomnie son bienfaiteur, d’un homme qui se joue de tout ce qu’il y a de plus sacré au monde ? qu’en pensez-vous ? dites, parlez, monsieur…
— Je pense que cet homme est un infâme, mon oncle, reprit le neveu attéré par cette violente sortie, et comprenant mal encore où tendaient ces apostrophes jetées coup sur coup.
— Infâme ! vous l’avez dit ! eh bien ! vous êtes un infâme, monsieur ; car vous avez