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danse à Fauvette ; elle la regardait quelquefois, caressait doucement ses souliers de satin, et ses mains un peu cachées par des manchettes de blonde : mais c’était une admiration froide ou craintive que ne pouvait expliquer son père.
— Pourquoi ne danses-tu pas avec Fauvette, mon petite ange ? lui demanda-t-il ; elle doit être légère comme ses plumes. Sa robe de crèpe blanc est si bien garnie de fleurs ! Marceline d’abord ne répondit pas : puis, comme si sa pensée sortait à son insu de son cœur, elle dit je n’ose pas l’aimer.
— C’est singulier ; pensa monsieur Sarrasin.