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— J’en ferai de plus beaux ! répondait-il sans orgueil ; mais parce qu’il voyait ses tableaux rêvés pendre dans l’avenir. Alors il retournait joyeux dans son argile et ses moutons.
Il dit pourtant un jour adieu à ces belles scènes changeantes ; mais adieu, comme le soleil, qui dit : « Je reviendrai. » Il revint douze ans après, tout rayonnant d’instruction, de lumière, et d’une gloire si tendre, que tout le village, en trésaillant d’aise, courut audevant d’Hilaire, le petit Berger !