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qu’il en fit à sa famille, augmenta parfois mon auditoire de quelques oreilles complaisantes, qui m’écoutaient sans impatience, et sans m’interrompre. Jamais un signe d’ironie ne vint glacer ma voix que l’âge et le malheur avaient un peu brisée. Ah ! je vous jure que c’étaient là d’excellentes gens ! Je regrette que Jésus-Christ n’en ait pas rencontré de pareils, quand il était triste à la mort, comme je l’étais moi- même !


FIN DU PREMIER VOLUME.