Page:Desbordes-Valmore - L Atelier d un peintre V1.djvu/349

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XXIII.

LE CURÉ.


Je le rencontrai tout rêvant, tout bâlant dehors les portes de la ville, près de la petite maison qu’on appelait l’Aubette, vous savez ? à la barrière où l’on visait les passeports des rares étrangers qui passaient par ce vert sentier de la France.