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l’enfant des champs-élysées.

Dieu, lui disant qu’il savait bien qu’elle n’était pas méchante, et lui demandant à genoux de consoler sa mère, car elle voulait de toute son âme qu’elle fût consolée ; mais elle n’attachait jamais sur cette pauvre mère que le regard effrayé du repentir, et ce regard les poignardait ensemble. Les enfants comprendront cela, les mères le comprendront bien mieux encore.

Après trois mois d’une affreuse anxiété, après tous les sacrifices épuisés à la recherche ardente de Michel, une visite fut rendue à sa mère par l’un des hommes les plus habiles à découvrir les attentats cachés dans notre grande cité ; il lui dit qu’il était presque inutile de se flatter plus longtemps ; que la justice avait tout inventé pour découvrir son enfant, et que Dieu seul pouvait maintenant le lui rendre.

Madame de Senne s’évanouit.

La disparition de Michel resta donc enveloppée d’un mystère impénétrable. La grande police de Paris, active comme