Page:Desbordes-Valmore - Bouquets et prières, 1843.djvu/272

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
267
PRIÈRES.

Tant de guirlandes parfumées
Qui pendent au froid monument !
Par le souffle mortel atteintes,
Tant de jeunes bouches éteintes,
D’où mon nom sortait plein d’amour,
Et qui m’appelleront un jour !