Page:Desbordes-Valmore - Bouquets et prières, 1843.djvu/268

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LE LIVRE DE PRIÈRE.


— À Jean Paul. —



Hélas ! qu’il fut froid, mon mois d’août !
C’est pourtant le mois où l’on aime.
Adieu donc, fleurs, moisson, et tout !
L’existence n’a plus de goût ;
Car, adieu ton souffle suprême,
Amour ! plus aimé que moi-même !