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AU REVOIR.


À ma fille



Sous tes longs cheveux d’or, quand tu cours sur la grève
Au vent,
Si quelque prompt ramier touche ton front qui rêve
Souvent,
De cette aile d’oiseau, ne prends pas, ô ma fille !
D’effroi :
Pour baiser son enfant, c’est une âme qui brille :
C’est moi !