Page:Desbordes-Valmore - Œuvres complètes, tome 2, Boulland, 1830.djvu/182

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Mais pour juger de sa rigueur,
Pressez votre main sur mon cœur !

Adieu donc ma félicité !
Adieu sa présence et ma vie !
Oh ! Que vous m’avez bien servie
En me disant la vérité !
Adieu donc ma félicité !

Vous avez voulu me guérir,
Cruelle !… Ah ! Pardon ! Je m’égare.
Non, non, vous n’êtes point barbare ;
Je le crois, dussé-je mourir…
Vous avez voulu me guérir !