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Et mon bonheur n’est plus qu’un souvenir :
En vain j’écris.

Si tu m’écris, je vais t’attendre encore ;
Mais, si ton cœur n’est plus tel qu’autrefois,
Fais que toujours, fais que le mien l’ignore !
S’il est constant, dis un mot ; je le crois,
Si tu l’écris.