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CHALLEMEL-LACOUR



La France républicaine, privée de Thiers et de Gambetta, ne pouvait pas rencontrer un ministre des affaires étrangères qui s’exprimât sur ses intérêts au dehors et sur son rôle dans le monde avec plus de hauteur de vues que M. Challemel-Lacour ne l’a fait à la séance du Sénat, le 13 mars 1883, quand il disait :

« … Nous croyons que notre pays ne saurait