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les cabinets des bibliophiles à côté des livrets du même genre mis au jour précédemment. Nous avons, afin de rendre notre publication plus ample et surtout plus intéressante, réimprimé à la suite des cantiques du Conte d’ALSINOYS, d’autres NOELZ SUR LES CHANTS DE PLUSIEURS BELLES chansons nouvelles. Ces dernières pièces sont également d’une extrême rareté, et nous ont paru mériter pareillement l’attention. Si notre espoir n’est pas trompé, si les amateurs daignent prendre en gré cette curiosité bibliographique, nous leur offrirons certainement plus tard diverses autres petites pièces rarissimes, conservées en éditions anciennes, dans la bibliothèque du Mans.

A, L.

Octobre 1847.