Page:Demange - Le livre de désir, histoire cruelle, 1909.pdf/140

Cette page a été validée par deux contributeurs.

CHAPITRE XI


…Vos yeux, vos tristes yeux…
Racine.


« Les journées qui suivirent, laissèrent à Jean une période de calme et de puérilité.

Cette fièvre nonchalante que tant de désirs disjoignent, un monastère, plus de paix, un refuge propre aux novices l’endormaient. Et retrouverait-il l’équilibre de l’âme aux approches de cette arrière-saison, où devant la nature