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'^^^f’ ’ i ■’ l H, >«  Uv DISC O V R 5 ■*►.,- qui peuvent s’y rencontrer j & nous nous foittî mes appliqués en même temps à montrer tous les ornemens » toute la richeide fc k pompe 4iont elle peut être parée jenforte que fi elle a quelques épines, ces épines font cachée^ fous les fleurs. Nous l’avons prife depuis les premières pkrafes informes que bégaiej’enfanc qui vient de n|iitre > ou TEtrai^er qui com* stience â rapprendre , & nous Pavons fuivje dans fa marche, jufqu’aux plus fiiblimes dit* cours des Bolfuer^ des Racine. Le Leâeur s’appercevra aifément , que la Langue Françoife qui paroît fi belle , fi noble , fi élevée dans la bouche de ces homm^ éloquens y n*en a pas plus d*arc ni plus de difficultés | c’eft la même fimpUdté d^ fà conftruc* tion , le même enchaînement dans les mots ; la difTérence ne vient que du choix heureux de ces derniers , & de lemploifage qulls fâvoient •cniaire, ■ r .’ :■’, :--■ Fin du pifcours Prélimi^ru

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