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Des plâtres, des fleurets, une armure gothique,
Prêtaient à ce logis un aspect romantique,
Dont un coup d’œil d’artiste aurait été séduit.
Le modeste habitant de ce triste réduit
Se nommait Guy Framès. C’était un gentilhomme
Né de sang béarnais, plein de bravoure comme
Le Cid Campéador, plus gueux que don César,
Aimant l’or, le soleil, la femme et le hasard.
Esprit enthousiaste et d’humeur peu chagrine,
Avec son beau profil, avec sa haute mine,
Framès aurait brillé, fils d’un prince, à la cour.
La poésie au front et dans le cœur l’amour.
Libre, fier, rayonnant en sa jeunesse blonde,
Gaîment il avançait dans le désert du monde.