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Entends le cri d’un père : il ordonne sa mort !…
(À Artaban.)
Tu n’oses le défendre ?
ARTABAN.
Eh ! c’est là mon supplice !
MANDANE, à Artaban.
Est-ce vous que j’entends ?… voulez-vous qu’il périsse ?
ARTABAN.
Moi !
MANDANE, avec feu.
Défendez-le donc !
ARTABAN.
Si je puis du coupable expier le forfait !
ARTAXERCE.
Arbace criminel !
MANDANE, avec impétuosité.
(À Artaban.)
N’est-il plus ton ami ?… N’êtes-vous plus son père ?