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IV


Un matin de la semaine suivante, Parceuil se fit annoncer chez la présidente. Celle-ci venait précisément de finir sa toilette et passait dans le salon qui faisait partie de son appartement. Elle tendit la main à l’arrivant en demandant :

— M’apportez-vous une réponse au sujet de cette petite Mitsi, cher ami ?

— Oui, je crois que nous avons trouvé ce qu’il faut.

— Ah ! tant mieux ! Il m’était désagréable de la savoir ici… Voyons, de quoi est-il question ?

— Les Sœurs de la Sagesse ont, dans un bourg d’Eure-et-Loir, un pensionnat fréquenté par des enfants de familles modestes. Le prix est minime, l’instruction assez bonne. Ce sera très suffisant pour cette enfant, que nous destinons à un sort subalterne.

— En effet. Donnez-moi l’adresse, je vais entrer immédiatement en pourparlers avec la supérieure.

— Voici…

Il lui tendait une lettre, que Mme Debrennes enferma dans un tiroir de son petit bureau Louis XV. Puis il s’informa :