Page:Delly - Les deux fraternités, ed 1981.djvu/152

Cette page a été validée par deux contributeurs.
150
LES DEUX FRATERNITÉS

Les traits d’Alexis se durcirent, il murmura âprement :

— Je les hais tous !… Tous ceux qui sont beaux, vigoureux, élégants !… Et je voudrais, père, que Claudine pût ne jamais sortir d’ici !