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L’ORPHELINE DE TI-CARREC
tion, puisqu’elle était celle de l’homme aimé.
Et puis, petit à petit, elle saurait bien prendre l’ascendant nécessaire pour transformer complètement cette âme dure et volontaire…
La petite paria de Coatbez pouvait envisager avec sérénité l’avenir radieux qui s’ouvrait à Gwen, princesse d’Orient…
FIN