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Tsang, le médecin chinois, avait dit, après avoir examiné la blessure de Dougual :

— Il y a une chance sur cinq de le sauver.

Ce Tsang, qui avait fait en France ses études médicales, était un praticien remarquable. En outre, son dévouement à Dougual était absolu. Il câbla immédiatement à Nouhourmal la nouvelle de la catastrophe. Quelques jours plus tard, Mme de Penanscoët arrivait par avion avec Ajamil et Sanda et s’installait au chevet de son neveu.

Dès le lendemain, elle tint conseil avec Tsang. Ajamil et le fidèle Wou furent appelés pour prendre part à cet entretien. Il fallait chercher un moyen de connaître ce qu’Ivor avait fait de Gwen. Car, naturellement, aucun