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avons passé des heures dont nous nous souviendrons à jamais. Encore une fois, nous étions dans le train, en laissant derrière nous tant de choses que nous avons su apprécier et qui pour le moment ne semblait n’être qu’une illusion. La vue de la ville disparût subitement par le vent qui soulevait le sable en tourbillons, l’enveloppant d’un rideau épais qui nous séparait tout-à-fait de la réalité, nous plongeant dans un donc rêve.

Une fois rentrés à Kapurthala nous reprîmes notre vie habituelle, en montant à cheval et en jouant au tennis, qui sont mes deux distractions favorites.