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L’ARONDELLE

Ha vrayment je vous puniray, Babillarde, & vous rongneray De mes cizeaux l’une & l’autre œlle : Ou bien, comme la main cruelle De Teree a fait autrefois, Vous tondray la langue & la vois, Qui tousjours, las ! quand je sommeille Devant le point du jour m’esveille, Et de son importun babil M’arrache du sein mon Bathyl. (Rémi Belleau.)