xàv 5év8p£o-tv v-aOcÇeiv
çayoCdav ctYptov tt;
-ravûv ïSto ixev ap-rov
àçapTracao-a -/etpôiv
’AvaxpéovToç aùxoû ’
Tîtetv Se (xot Stôwaiv
TOV otvov, ôv TtpoTcîvet •
ttioCjo-’ àSrjv ^jopeua),
y.al oeaTîOTTjV xpé7.ovTa
TT-epoTo-i (Tucx’.â^w.
xoi[Aa)[jLÉvr| 5’ eu’ a-l/TÔ
T(S papêtTto xaôeûSo).
ê’xeiç ocTravT* * aireXOe *
Àa/tcTTÉpav [x’ ëOrjXaç,
avÔptoTce, xal xopwvriç. »
LA COLOMBE & LE PASSANT
LE PASSANT
Où voles-tu, colombelle ?
D’où viens-tu, mignonne belle ?
Où prens-tu tant de senteurs.
Tant de parfum, tant d’odeurs
Qu’allant par l’air tu soupires
Et de ta gorgette tires
Goutte à goutte, & les respans
Par les bois & par les champs ?
V. 3i. Henri Estienne donne cette leçon :
« xa St<I■Kô^r,vi^oKdi, etc. »
Page:Delboulle - Anacréon et les Poèmes anacréontiques, 1891.djvu/44
Cette page n’a pas encore été corrigée
