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— 147 — Dessous les accords babillards Et sous les fredons de ma lyre. Je dance, & je vous puisse dire En beuvant cent contes gaillards.

(Rémi Belleau.)

   * 

(B. 2 B.) "Ayc, swypaçwv apiiTTc, l•jÇj’.^/.■r^c àxo-jô [JLoû<7r,; ’

ç’.AouaiYiJLovs; oè Bax-/at èxspoTivôo’j; èva’jAou;

Ypa?£ Ta; iioXeiç to TipwTov 

’O.apa; tô xal YsXwo-aç.

ô ôc xr,po; av ôûvaiTO, Ypdtçc xal vopLO-j; çiao’jvtcov.


LE POURTRAIT D’UN PAYSAGE (1)

Trace-moy, peintre un beau paysagc Ou les citez portent visage

(i) « Cette Ode est manque au grec », dit avec raison Rémi Belleau : par conséquent les vers 3 et 4 étaient à peu près intraduisibles, et ils le sont encore.