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oTioTa TpésouTtv uXac. (T’j Se 9a:v£a’. yewpywv à-KO |jLr,8éva; ti pÀdcTTTwv

orù Se TÎjX’.o; ^poTOÏTiV, 

6£p£o; vX-jxÙ; irpoçTiTr,; • çt)io"jo-’. (xév Tô MoC^ai, Ç’.)iîi Se $oÎoo; aû-rôç, ),’.Y*JPr’ 2’ eSfiJxsv ol^r^-K

TO Se YT.pa? o-j (tî -rscpej, 

cro^é, Yr,Y£VT,;, çD.’Jjjlvô * à-TraOr,; S’, àvaifJLO-rapxî,


LA CIGALLE Ha que nous t’estimons heureuse, Gentille cigalle amoureuse ! Car aussi tost que tu as beu Dessus les arbrisseaux un peu

V. 8. —Au lieu de -< tv -îj =«ivtai veuj-wt.v », la plupart des éditions donnent « iC. ^i stXia », ou « i-j Si =r/.:o; ". C’est pourquoi Henri Estienne traduit ainsi cet endroit : Te amplectitur colonus Quod ejus in labores Injuriosa non sis.

De même Helias Andréas :

Amor es boni coloni. Quia nil soles nocere.