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écrite pour la Grande Encyclopédie[1], ses leçons sur la philosophie kantienne, — ses leçons d’autrefois à l’Ecole Normale, ses leçons plus récentes à la Sorbonne, — d’un si scrupuleux attachement aux textes en même temps que d’une force de concentration si admirable, m’ont été constamment présentes.

J’adresse mes vifs remerciements à MM. les Professeurs Max Heinze, de Leipzig, et Oswald Külple, de Würzburg, qui chargés de préparer pour une part la publication des Vorlesungen dans l’édition nouvelle de Kant m’ont fourni avec la plus aimable complaisance les renseignements que je leur avais demandés.


Les renvois aux écrits de Kant se rapportent à l’édition Hartenstein de 1867-1868. — Pour les Lettres seulement, ils se rapportent à l’édition si considérablement enrichie de la Correspondance que Reicke a récemment terminée, et qui fait partie de la publication de l’Académie royale de Prusse : les numéros des tomes indiqués sont les numéros particuliers à cette section des Œuvres complètes.

La méthode d’analyse que j’ai suivie m’a naturellement obligé de revenir plusieurs fois sur des questions, des théories ou des idées que Kant a reprises, soit dans le même sens, soit en les transformant, au cours de ses ouvrages successifs : j’ai dans ces cas-là multiplié les indications de renvoi aux divers endroits du livre où ces questions, ces théories et ces idées se trouvent exposées, afin que l’on puisse plus aisément juger de ce qu’elles sont restées ou de ce qu’elles sont devenues dans la pensée de Kant.

  1. Reproduite dans ses Etudes d’Histoire de la Philosophie, Paris, Alcan, 1897. p. 317-411.