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La Figure de proue


Qu’on me donne cela que je sois brusque et rauque
Que j’écarte d’un bond l’humanité pédauque,
Et me jette au travers du couchant rose et glauque,

Que mon âme se dresse en un grand rire fier,
Et, songeant au passé nourri de sel amer,
Crie au ciel : « Mon cheval est plus beau que la mer ! »


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