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RAPPORT
SUR
LES SCIENCES MATHÉMATIQUES.

Nous n’avons pu dans notre Discours présenter qu’une esquisse imparfaite de nos progrès dans les mathématiques : pressés par les circonstances, qui ne permettoient aucun développement, nous n’avons guère fait que citer les noms et indiquer les travaux les plus remarquables. Revenons maintenant sur les mêmes objets pour les faire un peu mieux connoître, et réparer des omissions involontaires[1].

  1. Dans ce Rapport, tout ce qui concerne les mathématiques pures et l’analyse transcendante est tiré d’un ouvrage de M. Lacroix, qui l’avoit soumis aux sections mathématiques réunies. Nous nous sommes fait un devoir de conserver toutes les idées et, autant qu’il a été possible, les expressions d’un rapport qui avoit obtenu une sanction si respectable. Nous avons les mêmes obligations à M. Buache, pour ce qui concerne la géographie et les voyages.

Sciences mathématiques                                                            E