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RÉFORMATION DU CALENDRIER. 47 L’auteur débute par adopter la notation très commode et très utile que j’ai imaginée pour exprimer le reste ou le quotient en nombre en- tier d’une division; il a même, cherché à étendre l’idée et à lui donner quelques développemens nouveaux. Soit ^ r= " B s= n -f- ^ = ■+" |» on voilque/z étant un nombre entier, sera un nombre entier, ^ une fraction, puisque h <.B, cl que £|V On voit encore que ^^==^— "tT-^ ; car ne donne aucun reste. Tout cela est de la dernière évidence , et j’ai eu plus d’une occasion d’en faire usage. M. C. ajoute que(^d=(^-) = (^-^—^; il serait sans doute plus exact de dire que W B ^ B B ^ r J — - A ^ ; car il serait très pos- sible qu’on eût (j^ + (^) > B ; par exemple , mais M. C. suppose sans doute qu’après l’opération, on rejette B autant de fois qu’il se trouve dans le résultat définitif; et c’est en effet la règle que je suis en toute occasion. Soitfl= , « + i = N sera le nombre d’or. M. C. aurait pu en conclure N z=(àdll^- ) car = frcgf%== a, par la supposition; donc (^-g-^-) r = ( " B "^ G ~^~) r = « + i = N. C’est l’expression à laquelle je suis arrivé directement, et que M. C. finit par adopter, p. Pour la lettre dominicale, dans le Calendrier julien, il fait